Je n’aurais jamais pu décider de rester en région, la Petite-Nation en Outaouais (voisine des Laurentides) sans l’existence du réseau internet. Probablement parce que déjà au secondaire je devenais « citoyen du monde ». En effet, mes professeurs avaient fait leurs études et vécu un peu partout sur la planète et m’avaient transmis cette culture universelle. Et à la fin de mes études, la ville de Québec me semblait si petite que je décidais d’aller travailler à Ottawa, la ville des ambassades. Mes collègues de travail venaient de tous les pays !
Reste à faire la promotion du réseau internet et à convaincre les élus de câbler les rangs.